C’est la décision de refus de séjour de monsieur P... assortie d’une OQTF (obligation de quitter le territoire français).
« Qu’il ne ressort des pièces du dossier ni que le suivi de cette formation ne peut pas être effectué dans son pays d’origine, ni que cette formation nécessite sa présence sur le territoire, qu’il peut se voir délivrer un visa pour venir passer les exa-mens sanctionnant ses études tant pour les examens écrits que pour la réalisation d’un stage au sein d’une entreprise... Considérant qu’en application de l’article L511-1 I du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, l’intéressé, qui se voit opposer un refus de délivrance de titre de séjour, est obligé de quitter le territoire. »
Etudiant ressortissant sénégalais, monsieur P… a fait appel à l’association IJE afin de contester cette décision devant le juge administratif. Suite à ce recours, le jeune homme a pu rester en France.
>>Lisez la suite de l'article de Cécile Dimouamoua dans le dernier BANTUENIA de juin-juillet 2013
Abdel, jeune diplômé d’origine marocaine avait fini par décrocher un CDI et avait convenu avec son employeur, de le débuter à l’obtention de sa carte de séjour mention « salarié ».
Après plusieurs mois d’attente d’une réponse de la préfecture concernant son changement de statut, il finit par avoir une autorisation de travail.
Cependant, l’employeur qui pourtant s’était engagé dans la procédure, décida subitement de ne plus honorer les termes du contrat.
Abdel, inquiet est venu consulter l’association IJE.
Peut- on Parler de Continuité ou de Changement ?
Alors que le 24 avril dernier, le Parlement a débattu de l’attractivité de la France en matière d’immigration professionnelle et étudiante, de nombreux étudiants étrangers formés dans les universités et grandes écoles françaises n’arrivent toujours pas à obtenir de titres de séjours une fois diplômés et ce malgré l’abrogation de la circulaire Guéant.
Nous avons encore à l’esprit la fameuse circulaire Guéant qui avait fait beaucoup de mal aux étudiants étrangers diplômés en les mettant dans des situations impossibles.
Cécile Dimouamoua, présidente-fondatrice de l'Association Intégration Juridique et Economique
La camerounaise, juriste de formation, consacre aujourd'hui sa vie à la défense des droits des immigrés, ainsi que l'accès aux informations juridiques les concernant.
>>Lire la suite dans le Journal du Cameroun sur internet
Le 28 novembre 2012 a été publiée la très attendue circulaire VALLS sur les critères de régularisation des sans-papiers en France.
Au delà des controverses politiques sous-jacentes, force est de constater que cette circulaire comporte des avancées ponctuelles même si on relève certaines insuffisances.
Nous pouvons dire que c’est moins confus et plus précis qu’avant. Toutefois, la circulaire est encore trop compliquée pour le sans-papiers.
C’est pourquoi notre association organise une permanence spéciale le samedi 2 février 2013 pour aider les sans-papiers à y voir clair afin de monter leurs dossiers de régularisation.
>>Lisez l'article de Cécile Dimouamoua dans la Disporas-News janvier 2013
Qu’est-ce que le casier judiciaire ? Quels sont les types d’extraits existants ?
Pour avoir un casier faut- il faire les choses les plus graves?
Quelles sont les professions inaccessibles avec un casier non vierge?
Quelles sont les conséquences d’un casier non vierge lors d’une recherche d’emploi ou d’une demande de titre de séjour et de naturalisation?
Lisez l'article de Cécile Dimouamoua dans la Disporas-News de novembre 2012
En France 30% des chefs d’entreprise sont des femmes.
Chaque année, quelque 80 000 femmes créent ou reprennent une entreprise.
La création d’une petite entreprise ou de son propre emploi représente, pour de nombreuses femmes, une alternative à leurs difficultés d’insertion. Une étude réalisée parmi un échantillon de 300 créatrices demandeuses d’emploi d’Ile de France accueillies par l’IRFED EUROPE a permis de dégager un profil de ce public. Ce profil est caractérisé par la diversité.