Parler de violences conjugales à l’occasion de la journée internationale de la femme le 8 mars n’a rien de nouveau.
C’est un grand classique. Mais cette question restera d’actualité tant que les violences n’auront pas cessé.
Au premier abord le paradis et l’enfer sont des antonymes.
Concepts présents dans presque toutes les religions, le paradis est opposé à l’enfer.
Pourtant ces mots ont un sens particulier pour l’immigré. Ils sont entrés dans le vocabulaire usuel pour décrire la même réalité.
Lisez l'article de Cécile Dimouamoua dans le dernier Diasporas-News de janvier 2011.
En termes juridiques, le squatter est une personne qui occupe illicitement un logement vacant et s’y maintient par la force. C’est un occupant sans droit ni titre dont l’expulsion oblige souvent le bailleur à recourir à des solutions aussi bien pénales que civiles pour libérer les locaux.
La situation du sans-papiers en France aujourd’hui est pour le moins comparable. En effet, le sans-papiers est un étranger présent sur le territoire français tout en étant dépourvu de titre de séjour. La situation irrégulière intervient, comme on le sait, de plusieurs façons :
- après une entrée clandestine sur le territoire national français;
- du fait que l’étranger demeure sur le territoire français après l’expiration
de la durée de validité de son visa ;
- dans le cas d’une personne née de parents immigrés, dont la demande de naturalisation n’a pas été effectuée à l’acquisition de la majorité légale…
Dans tous les cas l’expulsion du sans-papiers oblige l’Etat à rechercher les solutions pour « libérer la France ».
Toutefois, bien que sans droit ni titre, le squatter ou même le sans-papiers disposent de quelques droits et garanties qui leurs sont reconnus...
>>A lire, page 20-21 dans le Magazine Diasporas News, magazine généraliste afro-caribéen.
Experte juridique en Droit des Etrangers, Fondatrice de l’association I.J.E et Consultante en entreprise, Cécile DIMOUAMAOUA élargit son champ d’activité.
Son premier article : Les pratiques arbitraires des Services de la Préfecture…