Parler de violences conjugales à l’occasion de la journée internationale de la femme le 8 mars n’a rien de nouveau.
C’est un grand classique. Mais cette question restera d’actualité tant que les violences n’auront pas cessé.
S’il est vrai que les femmes ne sont pas les seules victimes, que les violences touchent également les hommes, à tout seigneur tout honneur !
C’est la journée de la femme !
D’ailleurs, en 2010, la lutte contre les violences faites aux femmes a été proclamée grande cause nationale parce qu’elles sont considérées comme plus vulnérables.
De plus, en ma qualité d’experte en droit des étrangers, j’ai pu observer que les femmes étrangères en sont doublement victimes.
En tant qu’étrangères, en plus des violences conjugales qu’elles peuvent subir, elles sont soumises à un ensemble de textes et de pratiques plus restrictifs.
>>A lire, page 28-29 dans le Magazine Diasporas News, magazine généraliste afro-caribéen.