Madame D, travaille comme femme de ménage sans titre de séjour depuis quelques années. Du jour au lendemain son employeur la met à la porte.
C’est le jour de son entretien préalable qu’elle a connaissance de la faute qui lui est reprochée, en même temps qu’elle reçoit en main propre sa lettre de licenciement et le solde de tout compte…
Désespérée, désormais sans emploi, elle s’est rapprochée de notre association pour connaître ses droits.
>>A lire, page 21 dans le Magazine Diasporas News, magazine généraliste afro-caribéen.