Certaines sont arrivées en France pour rejoindre leur famille, pour se faire soigner ou avec une formation, pour travailler;

d’autres ont fui des menaces, des violences, un mariage forcé, la guerre dans les pays d’origine et ont demandé l’asile politique en France.

Elles font le ménage, elles gardent les enfants, aident les personnes âgées ; ou travaillent dans les ateliers de confection et dans les restaurants et plus récemment ce sont les étudiantes en fin de droits.
>>Lisez l'article de Cécile Dimouamoua dans le Diasporas-News de mars 2012